Introduction Basher

Sentir les choses...

Si Commetait la moindre erreur, il serait marron. Basher se mit a respirer lentement, comme un animal qui cherche son hibernation. Glissant contre le mur, il s'arrêta à côté de la porte, et posa sa main désarmée sur la surface du métal.

Celui-ci avait l'air froid. Personne ne jouait au chalumeau dessus, et, en tout cas, elle ne semblait pas avoir essuyer de tirs de blasters. Basher regarda au dessus de la porte pour vois s'il pouvait localiser un mécanisme débloquant l'hydrolique de la fermeture. Ceci fait, il débloqua le pene de la porte, et fit coulisser sur 2 petits centimètresl'un de ses panneaux, afin de pouvoir regarder à l'interieur de la salle.

La première chose qui te frappe lorsque tu jettes un oeil dans la salle c'est une odeur de sang, aussi infime soit il.

Il y a des morts à l'intérieur ca tu en es persuadé. Tu vois également plusieurs téléviseurs et ordinateur projetant des images. Il faudrait rentrer dans la pièce pour savoir de quoi il s'agit. La pièce est dans la pénombre.

Basher s'accroupis, et ouvrit la porte en la faisant coulisser. Il avança à la manière d'un crabe grotesque, mais à la diférence de ce dernier, il ne marchait pas lattéralement. L'obsurité et l'odeur écoeurante du sang le forcèrent à remettre le blaster en tir léthal.

Dès qu'il fut entrè, il se plaqua contre le mur de la porte, à côté de celle-ci, et plutôt que d'allumer sa lampe torche, il préféra laisser ses yeux s'habituer à la pénombre. En attendant que l'accoutumance vienne, il tendit la main pour refermer la porte derrière lui, sans toutefois la vérouiller.

Pas de petit bruit pour t'indiquer que la porte s'est bien refermé, mais d'après toi elle est bien fermée.

Tes yeux s'abitues très vite à la pénombre surtout qu'il y a plus de lumière ici que dans le couloir que tu viens de quitter.

Tu trouves un petit tas de corps de soldats à la cocarde rebelle au milieu de la pièce de la même manière que toi tu as pu disposé ceux que tu as tués quelques instants plutôt.

Les écrans de cette salle de surveillance te montre différents couloirs. D'un côté les cellules des prisonniers avec un nom au dessus de chaque écran. De gauche à droite tu peux lire: "Grand Moff Ravick, EL-434, Zardra, Nath'ri Celis Mott"

Un autre écran montre également une cellule mais ne porte pas de nom. Très certainement la tienne.

Sur d'autres écran tu peux voir des couloirs et des salles. D'ailleurs dans l'une d'elle tu peux voir plusieurs personnes autour d'une seule, même sans l'uniforme tu sens le potentiel impérial que ce type dégage.

En même temps, tu entends les voix des gens de cette salle:
Le type qui à l'air important dit:
" - Je suis le grand Moff Ravick, j'ai pris le contrôle de votre appareil, dans quelques minutes l'implacable, un destroyer stellaire impériale, viendra nous cueillir. En attendant capitaine je vous demanderais de rester bien sage. Mes hommes vont vous conduire jusqu'a vos chers cellules."

Il part d'un rire à lui décoller la plèvre comme fait tout bon méchant dans un mauvais film de série Z, sauf qu'il ne le tient pas longtemps parce qu'une femme que tu n'avais pas encore vu jusqu'a présent, se jette sur une console.

Elle se fait exécuter sur le champ.

Ne perdant aucune miette du spectacle tu la vois s'affecer sur le sol, et détail que toi seul peu voir, elle actionne une manette dans sa chute. Tes connaissances techniques sont limités mais tu es presque sur qu'elle vient d'enclencher le saut en hyper espace.

-"Merde" se dit Basher "Je vais gerber..."
Faisant face à l'écran, il se mis par terre, et colla son dos contre la parois de la salle. Il sentit le vaisseau littéralement partir vers les étoiles. Les objets autour de lui s'agitèrent, quelques ustensiles de travail toubèrent des pupitre, et, pris d'un spasme puisant, Basher rendit toute l'eau des toilettes qu'il avait absorbé.

Il se sentait mal, mais il fallait qu'il tienne le coup

"Fait un point" pensa-t-il

"Un... un autre Storm Commando exerce ses talents ici même. Deux, Le Grand Moff vient "juste" de prendre le contrôle du vaisseau... Trois, étant prisonnier, il devait jouir d'une complicité à bord... Quatre JE VAIS VOMIR BORDEL ! ... cinq : une ex détenue me connait : mon nom figure nulle-pard sur les fichiers de surveillance des cellules... Six : un noyau de résistance rebel est encore d'active ?... Sept : ils sont peut être ma chance de survie..."

Arrivé sept, son organisme s'était un peu habitué à l'accélération constante du vaisseau. La nausée s'était atténuée, et il pu se rasseoir devant le pupitre. Il essaya de localiser des troupes rebelles encore "actives, et si elles étaient capturées, il essaya de localiser les blocs de cellules.

Pendant que les images défillaient, il essaya de trouver des armes supplémentaires, au cas où il devait re-armer des soldats rebels.

Tu passes plusieurs minutes à regarder défiler les images sur les écrans. Tu vois qu'un prisonnier arrive à s'enfuir, que plusieurs autres sont abattus, qu'un certain nombre sont constitués prisonniers par les anciens prisonniers.

<HRP ON>
où va le monde ma pauv' dame
<HRP OFF>

Un détail te chiffone quand même, le gars qui a réussi à s'enfuir, tu ne sais pourquoi mais tu es sur de l'avoir déjà rencontré. Il était de dos mais tu es sur d'avoir reconnu ses vêtements et sa manière de bouger... Ce n'est qu'un détail mais cela te reviendra.

Une nouvelle fois tu te retrouves par terre. La décélération de l'appareil te fais régurgiter le peu qu'il te restait dans l'estomac, un vieux reste de diné que tu avais pu prendre sur le raffiot de l'espace de ton ancien capitaine. Ta chemise est gluante maintenant et l'état de ton pantalon n'est pas en reste.

<HRP ON>
-1D en charisme là, je peux pas résister ^^
<HRP OFF>

Tous les écrans de la salle s'éteignent en même. Il n'y a que le silence et le noir.

A première vu, le peu d'énergie qui restait dans le vaisseau à littéralement été aspiré par ce saut dans l'espace.

Basher réussit-il à trouver un ou deux fusil supplémentaires, acompagnés de munitions ?

Basher Attendit de nouveau à être habitué, et se glissa dans l'obscurité du vaisseau. Seules, quelques lanternes d'urgence encore faiblement lumineuse pouvait borner sa route. Basher entreprit alors de retrouver le fugitif. Bien qu'il ne connut pas l'architecture du vaisseau, il comptait bien se servir du bruit des "rabatteurs" cherchant à le capturer pour au mieux le retrouver avant eux, au pire, neutraliser quelques uns de ces mutins.

Basher remarqua alors qu'il dégageait une odeur épouvantable. Les sucs gastriques qui avaient éclaboussé ses vêtements le feraient repérer en moins de deux !
Il se déshabilla promptement, se retrouvant en caleçon et en bottes. Au hasard, il regarda s'il y avait là un cadavre à peu près à sa taille, histoire de piocher un falzar et une veste.

Tu trouves tout ce dont tu as besoin sur le premier type au niveau vêtement, à si méprendre tu jurerais qu'ils étaient fait pour toi.

Grâce à tes souvenirs d'avant l'extinction des feux, tu te souviens que accroché sur un mur à ta gauche, il y avait des armes. Si elles ne sont pas chargés, tu ne sais pas trop ou pourront être les munitions, sous clefs très certainement.

[tu me diras si tu prends le temps de chercher?]

Les quelques lumières qui subsitent sont clignotante dans le meilleur des cas, tu ne vois donc que part intermittence ce qu'il t'attend en face, au haut, et derrière toi.

Il n'y a pas plus de bruit. Il te semble même que tout est devenu trop calme à présent.

Tu deviens un peu nerveux, d'habitude tu as quelqu'un dans le dos qui surveille tes arrières en plus la sensation de mal de l'esapce n'est pas complètement partis, tu as la tête qui tourne un peu.

Une voix métallique dans ton dos te dis:
" - DEPOSEZ LES ARMES A TERRE SINON JE VOUS ABATS!"

Grâce à tes sens aiguisé du combat, tu sens une arme pointé sur toi.

[je t'expique pourquoi cela se passe comme cela. J'ai lancé les dés sur ta détection de présence ennemis et tu as vraiment raté le jet (enfin moi, mais bon ici toi c'est moi, tu comprends? ^^) ce qui veut dire que tu as été surpris. Pour ton prochain post dit moi juste ce que tu fais: déposé les armes, te retourner et tirer, autre. n'extrapole pas cette rencontre j'ai encore des choses à dire ^^]

Bon...

Juste pour rappelle Basher a une petite lampe torche, il prendra donc le temps de vérifier pour les munitions.

Pour la suite voila:

Basher prend l'air surpris et dit d'une petite voix : "non, ne tirez pas, pitié"

Mais pendant que le gars fait attention à la supplique , Basher lui balance son arme de toute ses forces (PUTAIN DE PATATE) en pleine poire.

Espérant une réaction de surprise, l'action envisagée est la suivante :

Si l'intrus est un robot (a cause de la voix métalique) Basher le charge en Zig-Zag, histoire d'être les moins souvent possible dans la ligne de mire du tireur. une fois au contact, Basher chop le "crane" du robot en bondissant dans un mouvement circulaire, afin de désolidariser la tête du reste du droïd. L'idées est de faitre au moins tomber le droïd afin de le désarmer.

Si l'intrus est un humain, Basher profite de l'obscurité pour se tapir dans l'ombre, et il sort son couteau.

Pourquoi pas cette dernière solution pour le Droïd ? Parce que Basher redoute que le droïd soit équipé d'un capteur IR, ce qui serait très probable.

[ok j'avais oublié ^^, tu as donc trouvé des munitions. Quel suspense!... non... bon tant pis ]

Vous êtes tous les deux surpris.

Toi le premier parce que la machine que tu as en face de toi n'est qu'à peine à 20 cm de toi.

Lui parce qu'il vient de se prendre ton arme dans la tête. Mais d'un réflexe fulgurant il rejette précipitament l'arme qui tombe sur le sol quelques mètres derrière lui.

Comme un stromboscope tu vois le droïd par intermittence. Il est un assemblage de deux boules. Une première qui représente la tête, et comme le reste de son corps est lisse et brille d'un éclat gris foncé, deux bras mécanique en sort avec une arme à chaque extrémité. Cette tête est maintenus droite par une autre sphère qui lévite à quelques centimètre du sol. Tu as déjà rencontré ce type de droïd, une vrai machine de guerre qui valait plusieurs hommes des commandos spéciaux. Ils sont redoutables car infatiguable et d'une perversité atroce.

[Voila, bon courage à toi]

20 Cm

Paaarfait

Basher se colla complètement sur le droïd,et bascula en galipette avant en mettant tout son poids sur la tête. L'idée était de bloquer les lignes de mire possibles du droïde en se sevant de son corps bloti contre celui du robot, et ainsi se réfugier dans un véritable angle mort.

La main droite chercha le poignard en carbone,. Basher espérait pouvoir glisser la lame jsuque dans le cerveau matriciel du droïd.

La rapidité de tes réflexes laisse un peu perplexe ton ennemis mais tu te rends vite compte qu'il n'y a pas de faille à son système pour y glisser quoique ce soit.

Il se tourne rapidement vers toi et tire une rafale qui éclaire un moment le couloir où tu es, suivant ton mouvement de fuite. Le couloir n'est pas très large mais tu tentes en saut retourné en t'aidant sur le mur.

(je suis toujours au contact là ?)

Si oui, Basher tente de bloquer un des bras du droïd vers sa deuxième arme, histoire de mettre hs une arme sur deux. L'idée est après de diriger le canon de la prmière arme vers sa tête.

Si basher n'est pas au contact, il s'abrite en angle mort, et s'arme d'un deuxième Blaster, qu'il recharge avec l'une des munitions qu'il a sur lui.

Si la deuxièmee tactique est celle qui est d'active, Basher se sert des obstacles pour bouger en tirailleur. L'idée est de contourner le droïd, de coller le cannon blaster sur la tempe du robot, et de tirer

Tu n'es pas au contact et il n'y a pas vraiment d'endroit où se réfugier dans le couloir, à part quelques avancés dans le mur qui n'offre pas de réelle protection face à ce type de machine

Tu entends un bruit de projectile, comme un mortier quand tu tentes de courir en zigzag pour éviter d'être tiré comme un pigeon.

Un chuintement caractéristique de bombes à gaz ne tarde pas a se faire entendre, puis un autre et encore un autre.

D'après ton expérience ce type de machine n'a que 2 type de gaz et l'un comme l'autre n'ont rien d'agréable. Soit un gaz neuro toxique, qui à l'avantage de ne pas tuer mais qui laisse sa victime sans aucune sensation et paralise les muscles tout en le gardant conscient. Le deuxième un gaz à effet retarder qui fait particulièrement souffrir sa victime en lui donnant des crises de vertiges et peu de temps après des quintes de toux recrachant du sang pour enfin se vider complètement de son fluide vitale dans les 15 minutes les plus longue de sa vie. Tu espères que cela ne soit rien de tout cela et que cela ne soit en fin de compte qu'un simple gaz de brouillard.

"tenir" se dit Basher" tiens ta respiration le plus longtemps possible"

Combien de temps pouvait-il tenir ? une minute, une minute trente tout au plus !!

Il se coucha instinctivement sur le dos, et rampa en s'éloignant le plus rapidement possible du robot... Tout du moins, de l'endroit où il était supposé être.

Ramper avait l'avantage de ne pas être dans une ligne de tir de barage éventuel, et surtout, il pouvait espérer avoir une vision plus "dégagée" du couloir, surveillant la moindre issue possible, qu'elle soit constituée d'une porte, ou même d'une grille d'aération.

Seulement, celui ci tir une salve qui s'arrête à quelques centimètre d'un endroit de ton anatomie que tu chéris plus que tout.

En plus le couloir s'assombris, il a lancer un fumigène qui t'empêche de le voir.

Tu restes interdits quelques secondes et tu remarques tout de suite qu'il n'y a plus aucun bruit....

"Rha Merde" hurla interieurement Basher.

Dos collé contre le sol, la veste lui procura une surface assez glissante pour que, poussant sur ses jambes, il puisse s'éloigner le plus vite possible de la zone embrumée.

Il fallait faire vite. Son arme était pointée vers la brume du gaz, et il espérait tomber vite sur un coude, une intersection, ou une porte, pour rouler-bouler sur le côté, et s'enfuir à toute jambes.

Justement le haut de ton crane touche sans être trop brutal un mur.

Grâce à la lumière stromboscopique tu peux voir qu'un couloir part sur ta gauche et ta droite.

Toujours aucune trace de ton adversaire. De ta longue expérience tu estimes qu'il doit faire une sorte de diversion pour te prendre à revers dans le plus mauvais moment pour toi.

Basher pivota la tête à droite puis à gauche, histoire de ne pas se retrouvé pris en sandwich.

Il fallait trouver un échapatoire. Il scruta les murs et le sol, espérant trouver une grille de service, ou une trappe accedant aux conduits techniques du vaisseau. Mieux valait pour lui de disparaître des coursives pendant que ce Droïd de combat traînait dans le coin.

De même, il fallait qu'il trouve à tout prix un moyen de s'éjecter de ce vaisseau, où qu'il soit dans cet espace.

Mais deux choses le turlupinaient.

1 : un autre storm commando était à bord
2 : il se rememorait la silhouette familiaire portant un uniforme rebel qui avait pris la fuite sous le feu nourri de ceux qui avaient détourner le vaisseau. Peut-être pouvait-il compter sur une aide plus solide que la petite frappe qui l'avait sortit de sa cellule.

Hors de portée du nuage généré par la grenade du Droïd, il s'accroupit machinalement sur le sol, afin de se déplacer sans bruit, et légèrement en dessous de tout ligne de tir instincive tirée par un ennemi potentiel.

Tu ne tardes pas à trouver sur ton chemin une bouche d'aération. Un simple bouton dissimuler dans le mur permet de l'ouvrir manuellement.

Un tir vient s'écraser sur le mur et un autre presque immédiatement après vient te brûler l'épaule.

Que fais tu???

[Quel suspense insoutenable ]

Basher procéda à un tir d'interdiction d'une main, pendant que de l'autre, il déclencha l'ouverture manuelle du panneau. Avec un peu de chance, son tir nourri pourrait contraindre le tireur ennemi de se cacher, et lui, de disparaître dans les entrailles du vaisseau.

Ton tir de barrage est suffisament convaincant pour te laisser le temps de plonger par l'ouverture du conduit.

Une pluie de tir s'abat quelques secondes plus tard sur la parois interne du conduit.

Le conduit forme un tobogan naturel et tu prends vite de la vitesse. La chute n'est pas très longue heureusement. Tu attéris dans une salle, sur un tas de détritus assez ignoble. L'odeur de cet endroit te rappelle trop les charnier après les batailles que tu as pu faire.

Une porte te fait face. Pas d'ameublement particulier. La lumière ici comme le reste du vaisseau est limité à une simple lampe rouge.

Tu as tout de même remarqué lorsque tu as attéris lourdement sur le tas de détritis, comme un bruit métallique venant du bas et un bruit tenu, presque étouffé, dont tu ne saurais déterminer la nature et qui ne s'arrête pas.

Instinctivement, Basher leva le canon de son arme en direction du conduit : un poursuivant éventuel aurait très bien pu tenter de le poursuivre.

Au bout d'une quinzaine de secondes, ne voyant rien venir, il remonta son arme, et alla regarder la porte de près, soit pour tenter de l'ouvrir, soit pour y chercher un système de dévérouillage d'urgence.

Tu te relèves et tu notes presque immédiatement que le bruit métallique continu lorsque tu bouges. Tu l'assimiles au bruit d'une porte dont les gonds n'ont pas été graissé depuis longtemps.

D'ailleurs le deuxième bruit s'intensifie, lui te fait plus penser à un bruit d'air qui s'échappe.

Avances tu toujours vers la porte?