Introduction Basher

Tu te réveilles dans une salle blanche. Tu es allongé sur un lit une place, peut de fioriture dans cette pièce minuscule. Tes yeux sont agressés par la lumière mais peu à peu tu distingues un peu plus de chose.

Tu as passés un peu de temps dans les cachots et autres comme tout pirates qui se respectent, mais jamais la cellule n'a été aussi propre. Pas l'ombre d'une poussière dans les coin, les draps sont propres... et sentent même l'adoucissant. Tu es tombés dans une prison de luxe...

Comment tout cela est il arrivé? Tu tentes de te remémorer les derniers instants avant ta perte de connaissance.

Tu étais sur un vaisseau pirate il y a peu, cela tu en es sur. Bien ensuite... Vous avez fait avec l'équipage une "mission" de collecte de fond qui a mal tourné. Ta tête te fais atrocement souffrir. Tu revois le visage du capitaine, un type des plus ringard sur ce rafiot de l'espace, il était habillé d'un grand chapeau mou avec une veste larges sur une grande chemise pourrie ainsi que des grandes bottes de cuir. Le pire c'est qu'il pensait être beau... Jerk... le nom de ton ami raisonne... mort, il est mort. Enfin c'est ce que t'avais dit le capitaine juste après cette malheureuse mission. Il était resté en arrière pour vous couvrir mais il n'était jamais revenu. La seule conclusion plausible c'était qu'il était mort, de toute façon vu la férocité des types qui étaient en face de vous, cela ne saurait être autrement.

Tu es dérangé des tes pensés par un bruit de verrou qui s'ouvre et de porte qui glisse. Un droïd fait sont apparition, il tient sur un plateau un repas encore fumant qu'il va déposer sur une petite table à ta droite. Tu aperçoit par l'ouverture de la porte que des gardes à la cocarde rebelle se tiennent, armes à la main non loin de là. Le droïd reprend la route et la porte se referme.

Que s'est t'il passé ensuite... Une mutinerie. Le capitaine trop gourmand avait été jeté dans l'espace avec perte et fracas dans une cellule de survie. Tu étais plutôt content de son sort comme les autres mais bon ce n'était pas un mauvais bougre quand même, il ne méritait peut être pas ça.

La suite revient un peu plus clairement. Votre vaisseau à été attaqué par une flotte impériale, il y a eu beaucoup de perte, votre vaisseau était vraiment une épave vous n'avez pas fait le poid très longtemps. Ceux qui ont pu on fuit par les navettes de survies. Toi dans le lot et vous avez été éparpiller dans l'espace. Tu as vu certain de tes amis se faire détruire par des chasseurs TIE lors de la débandade. Tu as été receuillit par le "Céleste" une heure après alors que tu dérivais à vive allure, ils t'ont remoqué à bord, après un interrogatoire, ou tu a été aussi muet qu'une tombe et ils t'ont mis aux arrêts pour le moment.

Basher tiqua...

En cellule... Prisonnier des "be-bels". Son corps lui faisait juste mal partout, et la nausée lui venant au ventre lui rappela qu'il devait se trouver quelque part dans l'espace.

Considérablement affaibli, il se traina vers le plateau. Alors, il eu peur

-"merde" se dit-il "Drogue ?"

Il reposa le morceau de biscuit qu'oil allait entreprendre de dévorer, puis, retirant ses vêtements, se fit un examen charnel

Pas de trace de piqure... Les gars qui l'avait capturé le considéraient comme un "simple pirate" ce que finalement, il était. Il regarda dans chaque coin de la cellule, et tenta de rpérer des camera. L'odeur du repas le tenaillai, mais il ne voulait pas courir le risque d'absorber la moindre substance qui aurait pu l'affaiblir en vu d'un interrogatoire musclé. Même le verre transparant vide lui semblait suspect !

Il se leva, et se dirigea vers le seul point d'eau de la cellule : les aises. Avec un peu de chance, le vaisseau dans lequel il se trouvait n'était pas équipé de chiottes chimiques. Les rebels se caractérisaient souvent par un "certain respect ecologique" et se servait d'eau pour leurs toilettes, histoire de ne pas "polluer l'environnement".

Bingo ! l'eau était bien au rendez-vous.

Inspectant le fond d'eau de la cuvette, il conclut que l'endroit n'avait pas recemment servi, et que l'eau qui s'y trouvait était sans doute propre. Un profond sentiment de dégout le saisit... tant pis ! il fallait qu'il mette quelque chose das son estomac !
Il mis sa main en cuvette, et bu l'eau qu'il extrayait du trou bordé d'inox.

L'eau remplis très vite tes mains, des goutelles éclaboussent tes vêtements et tu bois. L'eau n'apaise pas ton malaise mais au moins elle te semble fraiche et bonne. Dommage d'utiliser de l'eau comme cela pour les évacuations. Ton imagination veut te faire croire qu'il y a beaucoup de chose nocive dedans mais tu ne l'entends pas de cette oreille.

Il te semble avoir entendu un ricanement sourd mais rien n'est moins sur, peut être encore le fruit de ton imagination.

Pendant que tu portais une nouvelle fois à la bouche cette eau, tu es violement projeté contre le lit de ta cellule, tu as juste le temps de mettre tes mains en avant pour éviter un nez cassez ou plus grave encore. Les lumières s'éteignent presque tout de suite. Puis plus rien. Pas le moindre bruit.

Les oreilles aux aguêts il te semble tout de même entendre un frolement au dehors.

"Calme-Calme-calme"

Pensa Basher.

"Laisse tes yeux s'habituer"

A l'affut de tout son, et de toute information, basher se mis spontanément à quatre pattes, et comme un fauve aveugle, avança vers le dernier endroit où il se rappelait avoir veu la porte... Il essayait de la "sentir"

Quelque chose merdait... Il avait l'impression que le vaisseau partait en sucette. Il se colla à côté de la porte, guettant la venue possible d'un garde "Les rebels pensent toujours à sauver les prisonniers" se mit-il à penser.

Il se tint dos au mur, prêt à bondi, et instinctivement, ses doigts glissèrent vers sa botte

"Pourvu que ces enfoirés n'aient pas prensé à tout fouiller" se dit-il

Tes doigts descendent le long de ta jambe à la rencontre de ton couteau que tu cachais dans ta botte. Heureuse surprise, ils se resserent dessus.

Tu deplois la lame dans un geste murement répété après ces longues années de combat et te tient à l'affut près à bondir sur le premier qui passera cette porte.

Elle finit d'ailleurs rapidement par s'ouvrir quelques minutes plus tard. Une silouhette se détache dans la lumière diffuse de l'éclairage de secours qui s'est déclenché dans le couloir.

Tu ne vois pas cette personne en directe mais les formes que sugèrent les ombres sur le mur semblent indiquer qu'il s'agit d'une femme. Pas d'arme à première vu.

Toi tu es tapis dans l'endroit le plus sombre de la pièce juste à la droite de cette nouvelle venue.

" - Basher?", dit la voix

"Furtif" se répéta-t-il

Fluide comme de l'eauil saisit latteralement la silhouette par l'épaule, et "l'aspira " littéralement vers lui. Bénéficiant de l'effet de surprise, il put glisser la lame au niveau de la gorge, sans toutefois chercher à blesser.

le geste était très technique... impécable de souplesse... Ses instructeurs auraient été très fiers de lui s'il avait continué son geste jusqu'aà l'ouverture de la gorge, chose qu'il ne fit pas.

La silhouette fut plaquée face contre le sol en l'espace d'une paire de seconde, tête relevée par la main de Basher, tirant sur les cheveux. Le genou appuyé sur le dos empêchait à la jeune femme de se relever, et la lame de carbone, tranchante comme un rasoir sur la gorge lui en enlevait l'envie

-"Qui le demande ?" Glissa Basher à l'oreille de l'intruse "Pardonnez mes manières, mais il semble que nous avons un gros problème, et que vous êtes ma seule solution. Vous allez me guider vers la sortie !"

Tu l'as relève et au moment ou tu regardais de gauche et de droite pour voir ce qu'il se passait, elle est en profite pour te coller un coup de coude dans le flanc, et le souffle coupé te retourne le bras pour faire une clef, mais tu es costaud tout de même alors elle n'y parvient pas parfaitemant. Vous êtes l'un en face de l'autre, toi armé d'un couteau et elle non.

" - Intéressant!", dit elle d'une voix affectueuse.

" - Tu viens avec nous? on prend le contrôle de cette taule"

Dans la lueur nébuleuse du circuit de secours tu peux voir qu'elle te souris et qu'elle ne porte pas l'uniforme rebelle.

" Intéressant" répondit-il a voix basse.

Il se mis en route, echine courbée en avant, prêt à bondir à la première "mouche qui pête". Autour de lui, il put voir quelques cellules ouvertes, ety vides, alors que d'autres portes semblaient fermées.

Personne ne semblait tambouriner au portes, et les gardes rebels semblaient avoir tout simplement disparu.
La jeune femme , elle, continuait sa course, un peu à la manière d'uine fillette qui joue auy chat et à la souris, attendant que le chat qui la suit se manifeste pour accélérer l'allure.

"merde" se dit Basher "Elle bouge bien"

Les coursives semblaient interminables, et il se demandait où celà allait l'emmener. Ne connaissant pas l'architecture des vaisseaux rebels, il avançait en plein brouillard... Et l'éclairage rouge de secours n'arrangeait pas les choses.

Il n'y a quand grand couloir qui concerne les cellules. Plusieurs portes on l'air fermé mais il n'y a pas d'occupant puisque la lumière qui indique l'état de fermeture est sur la position ouverte. Tu faisais partis de la dernière cellule, tu dois donc être le dernier à sortir.

Des bruits de bataille que tu reconnais entre mille semble provenir du bout du couloir sur la gauche.

D'ailleurs tu manques presque être renversé par le cadavre d'un prisonnier venant d'être touché et renversé. La jeune femme semble excité à la vue de se spectacle. Elle se saisit de l'arme du type et te la passe.

" - Couvre moi avec ca je dois rejoindre le grand Moff"

Machinalement tu te saisis de l'arme, vérifie l'état des munitions, la visée, le poids, tout ce qu'on t'as appris au long de ces 10 dernières années.

Attendant ton signal, elle se prépare à foncer de l'autre côté du couloir où tu peux d'ailleurs apercevoir une volée de marche qui monte à l'étage supérieur.

Basher attendit de signal

La fillette semblait savoir s'y connaître.

"Prends des notes" se dit Basher "Celle-là, ce n'est pas une pucelle en baston... Faudra s'en méfier"

La main gauche tendue vers le ciel, les doigts de la jeune fille se refermaient un à un, en un simple et très efficace compte à rebour

5-4-3-2-1

Au zero, elle ferma son poing, et se plaça pour réaliser la traversée. Basher engagea un tir de barrage nourri vers le couloir, touchant volontairement les parois du vaisseau à un rythme frénétique afin de créer un écran de fumée.
Il n'avait pas la prétentrion de tuer qui que ce soit, mais seulement de rendre la manoeuvre de la jeune fille invisible.

Au milieu du raffut, elle sauta comme un chat dans le couloir, et coula comme une couleuvre vers l'escalier

"Grand Moff" pensa Basher pendant qu'il entretenait le feu "...et cette petite semble me connaître... Pas bon tout ça"

Basher ne savait pas s'il était efficace, mais il fut concient qu'il était observé...

"Bluff" se dit-il

Il feignit une maladresse élémentaire, du genre de celle qu'un soldat accompli ne commet jamais. Il fit expres de se dévoiler un peu trop pendant le tir de barrage... Seuls les Stormtroopers commandos tiraient en barrage avec l'arme en "bras tendu" plaqué contre la parois

Il attendit le signal de suite de la jeune fille.

[qu'as tu fais de ton couteau?]

La réponse ne se fit pas attendre, un feu nourrit de l'autre camp atteint le mur qui se trouve dans ton dos. Si tu avais été au milieu du couloir tu aurais été traversé de part en part.

La jeune femme qui avait traversé à l'instant ne se retourne même pas et fonce le plus vite possible vers l'escalier.

Tu as juste l'impression de t'être fais avoir.

Te voila seul contre un nombre indéterminer d'adversaire. Avec la salve que tu as lancé, ton chargeur est sérieusement entamé. L'écran de fumé s'estompe déjà. Dans cette situation ton instructeur à l'époque te disait qu'il n'était pas la peine de pleurer, il y a toujours moyen de contourner un problème et que la chance rentrait souvent en ligne de compte de se type de pronostique.

Basher envisagea les options possible

-"Attaquez vos adversaires là où ils s'y attendent le moins" résonnait la voix de l'instructeur...

Basher su alors exactement quoi faire.

Il mit en joue toutes les lampes de secours accessibles, et les étaigna aussi facilement que pendant la plus élémentaire leçon d'instruction au tir sur Myeleck d'argile. Le secteur plongea dans le noir complet, et ceci trouna à l'aventage de Basher. Il laissa le susil au sol, sortit le coutean de sa ceinture et se hissa pour se plaquer au plagfond, en se servant des conduites et des cables.

-"Dans un combat urbain, personne ne pense au plafond" hurlait l'instructeur

Les tirs adverses en disait long sur l'emplacement des adversaires, et sur leur nombre. Les bruits de blasters suggeraieent qu'ils etaient armés d'armes d'épaule ce qui, au contact, allait les désaventager... Lui, en revanche, en savait long sur l'art et la manière de se servir de son corps et d'un couteau pour maitriser pluseiurs fantassins trop lourdements armés pour pouvoir bouger correctement.

Il s'avança dans le noir, accroché aux tubes et aux cablage, les dents serrées sur la lame du poignard, et s'imobilisa dans l'obscurité, attentif aux bruits de pas, situant les ombres dans les ombres

Il fallait qu'il sente la présence de l'ennemi

qu'il sache EXACTEMENT ou il etait, et comment ils comptaient se déployer.

Il allait travailler à l'aveugle... Mais ces ennemis allaient être plus aveugles que lui.

Rapidement tu progresses sur le plafond, se genre de prise qui te sont offertes, c'est comme un escalator pour une vieille dame. Le calme reviens peu à peu et même sans les voir tu sais que tu te trouves au dessus d'eux sans qu'ils ne te repèrent.

" - Chef, ca semble s'être calmé la-bas à présent! Vous voulez qu'on aille voir?"
" - Oui allez y avec Yun, faites attention s'est peut être une ruse, vous avez les pires racailles de notre galaxie en face. Si c'est notement le droïd, redoubler d'attention, prenez ceci mais faites attention."

Tu aimerais payer cher pour savoir ce dont il parle.

A première vu, il pourrait être au moins quatre soldats présents, tes oreilles s'habituant peu à peu aux bruits qui t'entourent.

"Sens les" hurle l'instructeur

Deux devant, deux derrière en couverture

Impossible de s'occuper de ceux de derrière, trop dangereux : les faire venir

Les genous se serrèrent autour des tuyaux

Les eux se deploient

"JE LES SENS" hurle la voix du soldat

"TU LES SENS BIEN §" répond l'instructeur silencieux

"LAISSE LE PREMIER PASSER... QU'IL TE FASSE DOS!"

le premier homme passait..; Bashersentait son aura... Sentait sa chaleur intime.

Graénd nerveux... Sa sueur acide embaume l'air.

"C'EST CELUI LA QU'IL FAUT FAIRE CRIER" Hurle l'instructeur

"TUE LE DEUXIEME, SOLDAT ! EN SILENCE OU TU MEURS"

Le deuxième Homme était pile poil en dessous de Basher. Il lacha ses mains, et ses bras s'enroiulèrent silencieusement sur la nuque du deuxième soldat. Basher la brisa en une misérable seconde. "PAS DE CASQUE LOURD" hurla la voix de l'instructeur "VOUS AVEZ DE LA CHANCE SOLDAT !"

Le bruit de chute du corps stoppa l'avancée aveugle du premier soldat

-" Est ce que ça va là bas ?" hurla l'officier, encore prisonnier de la lumière de secours dans l'autre extrêmité du couloir.
-"Je... Je ne sais pas ! " cria l'autre, prisonnier de l'obscurité, à moins de 80 cm de basher... "Je n'ententds Plus Stockwell" finit-il par dire en revenant sur ses pas tout doucement.

Basher, telle une mygale attendis qu'il trébuche presque sur le corps du dénommé Stockwell

-"Stockwell ! t'es ou merdd..."

La lame de Basher fila silencieusement dans l'air, et ouvrit le visage de l'homme, tailladant de son oreille gauche jusqu'à son oeil droit.

le dénommé Yun hurla comme un dément. La douleur l'empêcherait de tirer, ça, c'était certain... Mais l'avantagen, c'est que la douleur allait surtout le forcer à demander de l'aide .

Basher se réfugia en haut de son perchoir , et se déplaca plus dans l'obscurité

"PARFAIT SOLDAT ! VOUS N'ETES PAS TOMBE DANS LE PANNEAU : VOUS N'AVEZ PAS PRIS SON ARME. VOUS AURIEZ PU VOUS FAIRE REPERER ! MAINTENANT, NEUTRALISEZ LES AUTRES LORSQU4ILS S'AVANCERONT"

.

Comme si tout était règler comme du papier à musique, les deux restant en arrière s'avance. Tu ne les vois pas mais eux n'ont plus.

Celui que tu viens de taillader hurle à la mort. Encore quelques minutes et il s'arrêtera, à cause du manque de sang.

Tu longes un peu plus en avant le long de la colonne, tu manques presque tomber d'ailleurs, tu as mal jugé une zone humide sur le tuyau, tes doigts impregnés du liquide ont glissé sur lorsque ta main à voulut se saisir de ton échelle de fortune mais grâce à ton entrainement intensif, tu te rattrapes sans plus de mal, malheureusement pour toi, un réflexe stupide te fait ouvrir la bouche et, comme le corbeau, le couteau que tu tenais dans la machoire tombe dans un fracas de tonnerre.

Les tirs de blaster ne se font pas attendre, les lumières zèbres le couloirs de couleurs vertes et blanches. Par réflexe toujours tu te colles au plus près sur les tuyaux que tu empruntes.

Les deux hommes se sont approchés, grâce à la lumière des tirs tu as pu déterminer qu'ils sont à moins de 5 mètres l'un derrière l'autre.

Ca devenait dangereusement risqué. S'ils localisaient la situation physique de Basher, il n'en donnait pas cher de sa peau. Il fallait trouver une autre option. Il avait devant lui une poignée de seconde pour se débarrasser des deux derniers hommes.
Puisant sur se forces, Basher se plaqua lattéralement sur le côté des tuyaux, et avança plus dans l'obscurité, à la rencontre des "hostiles". La seule bonne nouvelle, c'est que le tir incontrôlé ds deux soldat avaient rajouter de la fumée dans le couloir.

Il devait à tout prix se retrouver dans le dos du deuxième soldat.

Dans le noir, basher réussi plus ou moins à localiser la cible. Et lorsqu'il sentit sa présence, il se laissa littéralement tomber sur le dos de la victime.

il fallait faire très vite !

Alors qu'ils chuttaient tous les deux en même temps lourdement sur le sol, Basher distribua à l'aveugle coups de coude et coups de genou, essayant tant bien que mal de tirer l'extrêmité meurtrière du canon de l'arme vers le bas.
L'adversaire encvaissait du mieux qu'il pouvait. Un ou deux coups de blaster déchirèrent la nit du corridor, mais cela n'arrêta pas le travail de sappe de Basher. Ce dernier réussit à saisir l'arme du soldat. Roulant à terre afin d('interposer le corps de son ennemi en guise de bouclier humain, Basher tira une rafale en barrage dans le couloir, en direction de l'autre ennemi qui tirait dans la direction de la bagarre.

Secrètement, Basher espérait que le type qu'il avait si lourdement molesté s'en sorte... mais tant pis pour lui s'il prenait des impacts de la part de son estimé collègue.

Les éclairs rouges réussirent à localiser le deuxième tireur, et Basher ajusta son tir, tout en tenant très fermement le corps du premier soldtat.

L'échange de coup ne dura que quelques secondes, le gars plus avant tirait dans votre direction lorsqu'il a entendu son collègue tirer. Toi bien planquer derrière le corps inerte de celui qui fermait la marche tu attends patiement que l'autre se rapproche pour être sur de l'atteindre.

Plusieurs tires passèrent bien au dessus ou à côté de vous mais quelqu'uns arrivèrent tout de même à atteindre son infortuné collègue, dont la douleur du tir le réveilla en criant:

" - Arggggggghhhhhhhh"
" - Qu'est ce que vous lui faites espèce de salaud?", criait l'autre

Une nouvelle salve part dans votre direction qui immencablement atteignit son ami en plein torse.

Petit à petit le cri s'estompe pour laisser place au silence

" - John? Où..."

Fut ca dernière réplique puisque ton arme pointé vers lui, vint lui coupé la fin de sa question lorsque tu pressas la détente pour l'attendre. Ainsi mourrut Gordon Dilburk, Lieutenant de la première infanterie rebelle, en mission de surveillance sur le "Céleste" (information que tu obtiendras plus tard si cela t'intéresse

Le couleur est maintenant désert. Plus de bruit. Ton orientation est quelque peu perturbé mais en tatonnant tu devrais retrouver sans trop de difficulté ton chemin.

Avant de retrouver son chemin, Basher fouilla les corps pour espérer y trouver munitions et grenades, ainsi que tout autre appareil, passe, ou dispositif d'accès ou autres plans susceptibles de lui faciliter la tache. Il ferma alors délicatement les yeux des corps qu'il avaiit laissé derrière lu, aprs les avoir traîné dans une zone de lumière, et les "rangea" délicatement, inconsciemment de la même manière qu'avaient les commandos de l'empire d'honnorer les camarades morts au combat. Il attrapa plusieurs des blasters, qu'il mit en bandoulière, puis, avançant tout doucement à 4 pattes dans l'obscurité, vers l'escalier aveugle de l'autre bout du couloir, il chercha à taton son précieux couteau.

Lorsqu'uil le retrouva enfin, il se mit dans une zone plus illuminée par l'éclairage de secours, et vérifia l'état des chargeurs. Il prit l'arme la plus remplie, plaça les chargeurs des autres armes dans ses poches, et fit un point.

Ou était-il ?

Ou devait-il aller ?

La petite garce lui avait laissé un goût amer dans la bouche. De même, aller à sa rencontre ne l'enchantait guère. Il devait trouver une capsule de sauvetage. pour se faire, il devait trouver l'accès aux soutes. Plu^tot que de prendre l'escalier qui l'aurait amené vers la passerelle où devait se trouver Moff et la p'tite pute, il se mis en marche pour trouver l'accès aux coursives, qui devaient l'emmener aux soutes.

Pas d'escalier qui te mènerait plus bas en tout cas dans les environs proches. Tu retournes sur tes pas, passant devant ton "tas" de cadavre pour déboucher dans un nouveau couloir.

Sur la gauche, une porte sécurisé avec pour seule information, un logo représentant une croix. Sur la droite le couloir continu sur environ 10 mètres pour atteindre un escalier qui monte.

Devant la croix, Basher pensa que c'était l'infirmerie. Il allait passer son chemin, lorsqu'il pris conscience qu'il se retrouvait seul, dans un vaisseau dont il ne connaissait rien de la condition, et qui pourrait très bien s'écraser sur n'importe quoi en très peu de temps, si tout du moins, personne n'en avait pris les commades.

-"Il y a peut être des blessés qu'il faut évacuer" se dit-il.

Sans attendre une seconde de plus, il tourna les talons vers la porte marquée d'une croix, et commanda l'ouverture.

Tu pianotes sur la commande qui en retour ne fit absolument rien!

Prennant conscience que s'il n'y avait plus d'électricité il vallait mieux passé par la bonne vieille méthode du "je pousse la porte", tu fais pesé ton poids sur celle-ci qui ne tarde pas à s'ouvrir tranquillement.

Il s'agit comme tu l'avais deviné justement d'une infirmerie. Elle reste somme toute assez rudimentaire qui ne possède qu'à peine le confort le plus élémentaire. L'installation comprend deux lits, un ordinateur à diagnostic, une cuve à Bacta dans un coin de la pièce et plusieurs armoires à rangement.

Pas d'acitivité à l'intérieur.

Basher inspecta les environs. N'étant pas totalement stupide, il se mis à la recherche d'un kit médical d'urgence... Ce genre de petite trousse que l'on peut emporter avec soi un peu partout, et qui se révèle fort utile juste au cas où. Au passage, il trouva une de ces petites lampes de poche que les médecins portent sur eux. Le petit tube en acier tomba dans la poche lattérale de son treillis, qu'il ferma de façon à ce qu'elle ne tombe pas, à la manière et dans les circonstances de l'incident rencontré avec son couteau, tout à l'heure.

Ayant trouvé le précieux objet (ou pas, c'est pas Basher qui décide de son destion), il retourna vers la porte de l'infirmerie, et tendit une oreille très attentive à tout bruit suspect. Il vérifia que son couteau soit bien dans sa botte, et prit le temps découter sa respiration calme.

Ne voyant rien venir, il reprit sa marche silencieuse dans le couloir

Pendant que tu scrutes le couloir, tu finis de ranger dans ton sac, les deux medpac que tu as trouvé dans l'un des tirroirs et la lampe stylo trouvé dans une blouse suspendu à un porte manteau derrière la porte.

Pas de bruit aux alentours.

La seule direction possible, sans revenir en arrière, c'est l'escalier qui monte devant toi. Le poid de ton couteau dans la botte te rassure, pas que tu paniques dans ce genre de situation mais tu aimes cette arme, son contact, son histoire, elle a un effet apaisant sur ton esprit, comme un asthmatique qui a auprès de lui son médicament et qui dans le cas où il ne l'a pas, aurait une crise.

Toujours à l'affut tu grimpes les marches, t'attendant à toute instant à te retrouver entre un feu croisé. La lumière des veilleuses t'aide beaucoup dans ta progression. Sans que ton corps soit exposé, tu vois à hauteur d'yeux le sol de l'étage suppérieur.

Une porte avec inscription que tu ne distingues pas encore te fais face à une dizaine de mètre environ. Un autre couloir continu sur la droite. Des bruits de luttes et de tirs commencent à s'entendre, à en juger par la distance et le bruit étouffé des voix, la bataille se situe un peu sur ta gauche, très certainemement derrière une porte fermée dans le couloir que tu vois un peu plus loin sur la gauche.

Hors de question de participer à une mutinerie, et encore moins à une boucherie. Le navire semblait être en perdition, et la seule chose qui motivait Basher, c'était de trouver une capsule de survie. La logique voulait que la passerelle soit relièe à un système d'évacuation d'urgence, aiinsi que quelques autres postes clefs du navire.

Basher se hissa sur le palier, extrêmement vigilant à toute présence qui pourrait se tenir sur les lieux, en vue de garder l'accès à la passerelle. Il fixa du regard son arme, et poussa un juron

-"Rha... Merde, tant pis !"

Il régla son arme sur faisceau paralysant. De la tuerie gratuite, il en avait eu son compte. Tel un prédateur, il glisa parmi les ombres, et avança en direction de la porte

Tu atteins sans encombre la porte. L'inscription sur la porte est des plus simple, tu peux lire: " Poste de surveillance". Elle est légèrement entrouverte.

Le couloir se scinde en deux à se niveau là. Sur la droite en un coude qui se poursuit sur la gauche et de l'autre côté à quelques mètres de là où tu te trouves une nouvelle porte, sans inscription.

Le temps que tu arrives jusque là, tu n'entends plus de bruit.

Un silence lourd et pesant s'installe, et ta longue expérience dans les forces spéciales te fait ressentir jusque dans ta chair que tu n'es plus seul...