Introduction Bartholomew

Ok ! Tout en me bouchant les oreilles : je donne un grand coup de boule dans l'endroit ou est censé se trouver les joyeuses ! Même par un enfant de 10 ans : ça fait sacrément mal ça ! En plus je suis pile à la bonne taille !

Supris par ton attaque il ne peut éviter le coup de tête, la chose tombe sur l'un des ses coéquipiers et l'emporte dans sa chute.

Cela à pour effet de déclencher les hostilités.

Le groupe qui se trouvait près de la porte du restaurant tourne leurs têtes dans votre direction. Le gros type lance un long cri, les 3 autres énergumènes réalisent un bond gigantesque dans votre direction.

Ton père vient se porter à ton secours et prend le dernier bonhomme encore debout par la taille et serre.

Je beugle :

" Ouééééééé ! Vas-y p'pa : casse-le en deux !"

Et je m'agrippe à la jambe d'un des gugusses pour le faire tomber par terre, ou tu du moins le gêner.

Le chapeau du type tombe de sa tête et te permet de voir le plus horrible chose que tu n'es jamais vu. Cela à une tête d'homme verte avec des morceaux de peaux comme des écailles sur les joues.

Une langue gigantesque sort de sa bouche et vient s'enrouler autour du cou de ton père.

Celui qui t'agrippe sort lui aussi sa langue et t'enserre la cheville droite et te soulève avec comme une plume.

D'autre langue vienne prendre les chevilles et les bras de ton père qui se retrouve bien vite bloqué non sans qu'il est eu le temps de casser la colonne vertébrale de celui qu'il avait dans les bras.

Les quelques clients qui étaient resté pour voir ce qu'il se passait fuit rapidement du restaurant, il ne faut plus compté que sur toi et ton père pour vous en sortir.

Tu as la tête en bas et le sang commence à s'accumuler dans ton crâne, ton père est bloqué et le gros bonhomme qui semble être le chef de ses choses, sans trop se presser, s'approche de vous.

Ok ! J'essaye de me redresser comme pour un exercice d'abdo et d'attraper la langue du pas beau puis si je réussis à la chopper je tire dessus comme une brute histoire de lui faire mal, et je donne des coups de pied dans tous les sens en vagissant des insults...

" Salaud, gros naze, fils de p*** ! Lache-moi face de lézard ! Je vais te buter ta sale geule d'enc*** "

[faut arrêter de regarder des hentai avec des langues qui s'enroulent autour des chevilles petit coquin ]

[HRP: pfff c'est toi le coquin, je pensais plus à l'homme grenouille dans X-men ^^]

Tu jetes des coups de pieds ou tu peux mais ils n'ont que peu d'effet. Grâce à sa langue il te tient à une distance respectable de lui et il te malmène pour t'empêcher de te relever. Petit

Tu peux quand même voir que ton père s'en sort un peu mieux, il se sert d'un des hommes comme d'un fouet en le tenant par sa langue pour tenir à distance les autres.

[Dans X-men : c'est le crapaud, pas La Grenouille qui opère dans New York et intervient dans les aventures de Spider-Man ]

Bon et pour ce qui est d'attraper sa langue ? Genre je la choppe et l'utilise comme une corde pour me diriger vers lui ?

Rien n'y fait, il ne te permet pas du tout de te releve, grace à sa langue il te fait monter en descendre comme un yo-yo.

Grâce à l'intervention de ton père, ton agresseur se prend une table dans la face. Il te lache instantannément.

Ton père te lance:

" - Va te mettre à l'abris tout de suite, j'arrive dans cinq minutes"

Barth ne se le fait pas dire deux fois et file, non sans avoir flanqué un coup de pied au passage dans la tête du fils de p*** qui m'a pris pour son yoyo !!

Tu te planques sous une table et cela te permet d'avoir une vue d'ensemble de la situation.

Il ne reste plus que 3 adversaires debout dont leur chef. Deux se tiennent face à ton père et le tienne par leur langue au niveau du cou.

Le chef se tient plus en retrait et enlève son manteau, laissant apparaitre un gros ventre distandu, bizarrement tu aperçois très bien une large cicatrice sur son abdomen.

Il invective ses acolytes et prononce des paroles qui résonne bizarrement en toi.

Soudain avec horreur tu remarques que le ventre de la créature s'ouvre un léger courant d'air s'élève en même temps et devient de plus en plus fort au fur et à mesure que le ventre s'ouvre.

Ton père tente de se libérer mais les créatures ont l'air de réussir à le maintenir dans cette position.

Le courant d'air se transforme en bourasque, les objets qui sont trop lèger et pas amarré au sol, commence à bouger voir pour certain à voler en direction de l'ouverture que le monstre à créer.

Une lueur blanche et tourbillonnante apparait au centre de l'ouverture.

J'essaye de prendre un bout de chaise ou n'importe quoi qui puisse servir de gourdin et je m'approche subrepticement derrière le pensu... Si j'arrive à me glisser derrière lui : je vais lui flanquer un grand coup dans le genou... C'est mon papa* qui m'a appris que peu de créatures résistaient à un coup dans les rotules !!


[Hrp : et mon Mj pour ma part ]

Le temps de trouver un débris convenable pour en faire un gourdin, le bourasque se transforme en un vent d'une violence inouïe.

Tous les débris de la pièce se mettent à danser, à se cogner les uns aux autres, tous en direction du gros pensu.

Tu n'arrives qu'avec peine à tenir debout, tes vêtements claquent et t'attirent vers la spirale infernale.

Ton père semble tenir bon pour le moment. Les deux créatures qui le maintiennent ont quelques difficultés à rester stable.

Faire le tour du pensu dans cette situation serait du suicide car si le vent redouble encore, il te sera impossible d'avancer à cause des débris qui volent dans tout le restaurant.

Bon, je choppe le couteau suisse qui ne me quitte jamais (pratique pour dévisser les tables à l'école, ou graver mes initiales sur une quelconque surface, sans oublier l'essentiel : crever les pneus de skinner) et je taille en pointe le gourdin... Puis si le vent n'a pas faibli : je le lâche en direction du pansu en espérant que ça ira se planter dans sa sale tronche !!

Le vent ne faiblit pas, il enfle même encore un peu, se rapprochant d'une tempête digne d'un film catastrophe. Tout un tas d'objet tourbillonne dans les airs notamment des couteaux, des fourchettes, rien ne semble atteindre le pansu mais par contre cela entaille la peau des créatures qui maintiennent ton père.

Lui ne semble pas souffrir de se mal malgré que des objets le touche. Tu peux voir ses muscles tendus, sa machoire crispé, et surtout sa stabilité malgré la force du vent.

Tu lâches ton gourdin, et il file droit vers le pansu, qui l'avale aussitôt tant les forces en jeu sont puissantes.

Toi aussi tu es touché par le phénomène, l'aspiration que provoque la poche du pansu, commence à t'attirer irrémédiablement vers lui.

Je tente de m'accrocher à quelque chose : une table, le pied de quelqu'un... Et je beugle : "Papa" d'une voix plus aigue que je ne l'aurais souhaité...

Le bruit dans la salle du restaurant est maintenant ahurissant, tes paroles sont emportés juste après être sortie de ta bouche.

Tu t'accroches tant bien que mal au pied scellé au sol par des rivets d'une table. Tes pieds quittent peu à peu le sol, la force d'attraction tente de t'emporter mais pour le moment tu tiens bon. L'aspiration semble avoir atteint son apogé.

Ton père bouge enfin, car les créatures qui le maintenaient subissent le même phénomène, bien qu'ils se servent de ton père comme pillier. Celui-ci par un habile jeu de passe délie, les langues qui le maintenait cloué. Ils sont emporté par l'aspiration et se perdent dans le panse de la dernière créature encore debout.

Ton père se tient d'une main à une table et de l'autre se saisie d'une applique murale assez gigantesque représentant un insigne de police rouge avec un nombre en lettre dorée représentant "66" qu'il lache.

Le projectil fonce en direction du pansu et se fait absorber comme le reste. Tu notes que l'aspiration a diminuer au moment du passage de l'objet et à repris juste après.

Ton père se saisie de la table qu'il tenait et par un effort que l'on peut qualifié de surhumain, il la déscelle du sol et la lance. Sauf qu'au lieu de rester sur place, il en profite pour suivre la table en direction du pansu.

la table bouche le trou de la panse mais avec l'effet de l'attraction, elle commence à se plier.

L'effet d'aspiration est annulé et tu retombes sur le sol, sans trop te faire mal.

Ton père lève son poing au dessus de la tête et frappe son ennemi avec violence, celui-ci par la tête la première vers le mur d'en face.

Quand il touche le sol, la tête forme un angle non naturel.

Le silence s'installe, plus rien ne bouge, tout semble terminé.

Ton père vient te récupérer sous une table et te prend dans ses bras.

" - Tout vas bien? tu es blessé?"

Je souris bravement :

" Moi ? Queud' ! On s'le refait quand tu veux... "

puis après cette ultime bravade, je pleure d'émotion et de soulagement. Après une dizaine de minutes à mouiller la chemise de mon père, je relève la tête et renifle :

" C'était quoi ces machins ? J'ai cru être dans un film d'horreur à la tridéo... "

Ton père te te tapotte la tête et le dos pour tenter de te rassurer. Il te susurre à l'oreille des mots réconfortants. L'image est belle et contraste avec le chamboullement du restaurant.

" - C'était l'un des nombreux dangers qui parcourt ombre. Avant de pouvoir les appréhender il te faudra grandir et murir, tu me comprends?"

Il te soulève comme si tu n'étais pas plus lourd qu'une plume et vous sortez du restaurant. Votre voiture est éventrée au niveau du capot. Une partie du moteur est sur la route.

" - Ah les enc...", mais il se ravise.
" - Bon je ne voulais pas l'utiliser mais j'y suis forcé là."

Ton père sort un jeu de carte qui est magnifique, en très bon état mais il te semble très ancien.

Il sélectionne une carte représentant le parvis d'un chateau. Il semble se concentré dessus et une forte aura magique se dégage de se bout de papier,et il fait un pas en avant.

Vous vous trouvez dans la cours du chateau que tu as vu en image.

Bart ouvre de grands yeux et tourne la tête dans tous les sens pour admirer le tout :

" Cool ! Encore mieux que Disneyland... Trop fort P'pa ! C'est ça Ambre ? Putain ça en jette... "

Va dans le thread Bienvenue à Disney Ambre