Là où apparaît Claude-Georges Lermourtier

Pour toute réponse Claude Georges reçoit un violent coup d’un objet contondant sur l’arrière du crâne. Tout cela s’accompagne d’un éclat de rire qui n’augure rien de bon. « Allez bonne nuit le bourgeois ! »

Tu me fais une petite prouesse de physique ou/et de courage.

tombant de ton son poids en avant, Claude-Georges sent la Douleur entrer en lui comme si un éclair lui avait traversé la tête.. La sensation d'avoir un ver qui tout d'un coup se serait mis à grandir, dévorant tout son cerveau sur son passage..
La douleur...
Etonnament, il parvint à l'encaisser malgré qu'elle lui fit atrocement mal..
Le rire du Malandrin lui résonna dans les tympans et le mit encore plus mal à l'aise..
Quelle violence gratuite!
Résistant contre la première impulsion de son corps, qui consistait à laisser tomber, attendre de voir ce qui allait arriver, il lança sa jambe en arrière..
Pour frapper d'un coup bas sous la ceinture de son agresseur ou pour au moins le repousser..

Sentant quelque chose de dur contre sa jambe, il poussa de toutes ses forces..
L'homme surprit partit à la renverse tandis qu'il était sûr d'avoir réussi son coup en frappant Claude Georges et qu'il se préparait à monter dans le Fiacre à son tour..

Difficilement , la tête toujours en train d'exploser, Claude Georges parvint à sortir du Fiacre..
Halletant, la main sur la nuque, et l'autre main s'appuyant sur sa canne pour le soutenir, il réprima l'envie de pleurer et de vomir qui lui montait au crane..

Il fit quelque pas, et déjà il sentait son agresseur revenir à la Charge..

Il recula, et , leva la canne entre lui et son ennemi..
S'il osait faire un pas, Claude Georges le frapperait.. Pour le moment il cherchait à reprendre au plus vite ses esprits...


J'utilise ma bonne compétence d'escrime avec mon 5 de trêfles et toutes mes autres cartes s'il ose avancer.
Je chercherais à le frapper le plus fort possible, pour repartir dans la direction de l'homme de loi que j'ai vu s'éloigner...

Claude George toujours titubant lève avec difficulté sa canne. Il tente de rester bien ferme sur ses jambes mais tout autours de lui la terre semble s’être décidé à effectuer ses rotations beaucoup plus rapidement que d’habitude. Il ne voit qu’un tourbillon de lumière et au milieu il distingue la silhouette de son adversaire. Celui si se tient solidement en face de lui prêt à parer son attaque.
Le jeune banquier se lance à l’attaque. Sa canne s’abat lourdement en direction du bras de son adversaire. Ce dernier pare le coup d’une rapide attaque de son poing gauche. Claude George le reçoit au niveau du menton.

Alors qu’il encaisse se nouveau coups Claude George sent une présence derrière lui, une main se plaque contre sa bouche et une terrible force le traîne en arrière.
Il se sent happer à l’intérieur du fiacre. Alors qu’il est au sol il peut voire son bourreau : un troisième homme qui se tenait en embuscade à l’intérieur de la voiture. Le premier homme monte à son tour. Claude George est désormais seul à terre et désarmé dans le véhicule en présence de deux hommes à la mine patibulaire.

Le fiacre se met en marche, les fers du cheval raisonnent contre les pavés, la voiture et son sinistre butin s’enfonce dans la nuit. La scène d’une grande violence à duré l’espace de quelques secondes.

L’un des ravisseur du pauvre banquier lui applique sur le visage un mouchoir humide sentant fortement le chloroforme. La plancher du fiacre est la dernière vision de Claude George.

Puis il se réveille la tête lourde, allongé sur une planche en bois dans une pièce sombre et humide.

Claude Georges tente de se libérer.. désespéré de n'avoir pas pu mieux réagir..
Il remue les bras et le corps pour voir s'il est attaché.. Puis toujours discrètement, il tourne la tête en tous sens pour voir ce qu'il se passe autour de lui...
Il cherche aussi à se souvenir de tout ce qu'il s'est passé depuis sa sortie de la gare, jusqu'à ici, se souvenir d'un moment où il aurait pu reprendre conscience, tenter de voir le temps qu'il a passé assomé..

"Pourvu que je ne me sois pas trop mis dans de gros ennuis.."

Claude George est plongé dans l’obscurité. Il est allongé sur une espèce de paillasse posé sur une banquette en fer rattaché au mur. Il ne semble pas ligoté et se retrouve libre de ses mouvements. La pièce est sombre et humide.

Derrière lui un courant d’air s’échappe d’un petit soupirail haut de quelques centimètre mais qui semble donner sur l’extérieur. Devant lui se dresse un escalier qui monte à l’étage. Au sommet des quelques marches Claude Georges peut apercevoir une porte de bois sous laquelle perce quelques rais de lumières. A sa gauche le jeune banquier se retrouve face à un mur de pierre solidement agencés. A sa droite se trouve un mur de brique brinquebalant et une porte constitué de quelques planches mal ajusté. Au milieu de la pièce se trouve un large pilier de bois qui soutient le plafond.

L’ameublement de la pièce est sommaire, il ni y a rien mis a part la misérable paillasse et un broc d’eau en grés. Au dessus de lui Claude Georges entends des pas qui déambulent ainsi que des éclats de voix de manière haché. Ses geôliers sont en pleine discussion mais il n’entend que des brides.

Claude Georges s’aperçoit rapidement qu’il n’a pas été fouillés. Il retrouve toutes ses affaires mis a part sa canne, son petit canif sa montre et les rares billets qui traînaient dans son portefeuille. Au dehors il semble faire nuit mais il n’a aucun moyen de se repérer temporellement. Il a l’impression d’avoir dormis que quelques seconde. Au bout de quelques temps la cloche d’une église raisonne. Il en compte les coups et en dénombre 4. Le jeune banquier commence à retrouver ses esprits sa têtes cesse de lui faire mal. Ces jambes lui semblent plus solide. Il reprend peu à peu du poil de la bête.

*se frottant la tête et cherchant vaguement à réunir ses pensées, Claude Georges observe les lieux..

Est-ce que je pourrais regarder par ce soupirail? S'il faisait jour et que je savais où j'étais, cela aurait une utilité, pour le moment je dois trouver autre chose.. Et puis s'ils arrivent..
Est-ce que je pourrais passer au travers de ce soupirail? en Aggrandir les pourtours? non je le crains..
Mais que faire?

Se tournant vers la Porte en haut des marches ,et toujours en tendant l'oreille dans l'espoir ou la crainte d'entendre quelque chose à son sujet, Claude Georges se demande s'il pourrait ouvrir la porte et faire quelque chose..

Ce n'est pas que je ne le veuille pas, mais euh... Ne suis-je pas déjà assez mal en point?
D'ailleurs pourquoi cette situation? que me veut-on?
Je ne suis pas connu ici.. S'il avait s'agit de me dérober mes biens, je ne serais sans doute plus en vie..
Personne ne me connait ici, mais cet homme venait de Liège, tout comme moi.. Qui à Liège peut me vouloir du mal?!
Sans réfléchir bien longtemps, le nom de la banque lui vint à l'esprit! La NEB?!Kirche?!
Ainsi donc il aurait osé s'en prendre à ses opposants ainsi?!
Mais comment alors aider Eloïse?!
D'ailleurs comment va-t-elle?!

Pourquoi suis-je sans cesse à me tourmenter de la sorte?!

Se reprenant, Claude Georges prend sa montre en main et tente de regarder l'heure. Mais à peine l'ouvre-t-il qu'il pense à son père et repart dans ses questionnements sur la vie, sur sa vie...

Quelques minutes plus tard, alors qu'il est toujours à se demander ce qui pourrait lui arriver de mal ou de bien, il se décide...

Je vais ouvrir cette porte!
Il se dirige vers la petite porte de bois dans le fond de la pièce et entreprend de l'ouvrir..

Claude George fouille dans sa poche à la recherche de sa montre mais sa main remonte vide. Manifestement il a été délesté de sa montre.
Après un examen rapide des barreaux du soupirail le jeune banquier se rend compte qu’ils ne sont pas aussi solide qu’il le pensait. Le mortier qui les scelle au murs s’éffrite. Avec un un outil adéquate il pourrait les abattre.

En pretant l’oreille Claude George suprends quelques bride de conversations entres ses ravissseurs. Ils distingue au moins trois voix différentes. La conversation est très décousue.

« Attendre …… chef à dit que ………………… bien silencieux ……………………….paix …………………….rendormir …… berceuse ……………. »

la petite porte lui résiste quelques instant un vigoureux coup d’épaule à vite fait de l’ouvrir. Cela se fait dans un bruit de planches pourries qui se brise. Claude George à l’impression d’entendre les trompettes de Jéricho raisonner à ces oreilles.

Après avoir attendu dans l’obscurité Claude Georges n’entend aucun bruit bruits suspects. Ces ravisseurs ne semble pas décidé à lui rendre une petite visite.
La nouvelle pièce est toute petite, une odeur de moisie emplit toute la salle qui semble regorger d’un immense bric à braque, vestige de quelques larcins. Au milieu de quelques pièces de mobilier ou de tissus pourrissant il découvre des outils et une barre de fer.

Remerciant le ciel pour ce magnifique revers de la chance, Claude Georges se met en quête d'user encore plus le mur pour se frayer un chemin vers l'extérieur à partir du soupirail..
Il tente de ne pas faire de bruits, et sitôt il en fait un, il s'arrête de travailler quelques instants pour être sur de ne pas avoir été repéré..

Claude Georges parvient au bout de quelques temps à desceller les barreau et s'ouvre ainsi le chemin de la liberté.
Une fois libre il a la surprise de constater que le décor à changé. Les rue sont couverte de neige. L'architecture ne ressemble pas à celle de la capitale Belge mais à celles des rue parisienne.
En regardant le nom des plaques de rue Claude Georges à vite fait de se rendre compte qu'il est entrain d'arpenter les rues parisiennes.
Il en déduit qu'il a passé plus de 24h dans le brouillard le plus complet. Le jour se lève...

Comment suis-je arrivé là?
Pourquoi suis-je arrivé là? Se demanda Claude Georges en sortant, il regarda le nom de la rue où il était et s'éloigna pour mettre le plus de distance possible entre sa dernière géole et lui même..
Bien décidé à aller chercher la police pour régler cette histoire au plus vite..
Il chercha à calculer mentalement le nombre de jours qui lui restait avant que l'échéance d'Eloïse ne prenne fin..
Il n'y arrivait pas tant il voulait d'abord trouver un homme de loi..
Il se mit alors en quête d'en trouver un..

Claude Georges quitte rapidement la rue Amelot. Il marche rapidement en direction de la place de la Bastille. Une nouvelle fois une église marque la nouvelle heure. Ce coup ci il peut en compter 7. Les rues s’animent, elles se peuplent d’une gens affairés. Le jeune banquier peut observer les différent corps de métiers qui ouvrent leurs boutiques. En se renseignant au prés d’un crieur de journaux il apprend qu’il ne lui reste que jusqu’au soir pour rassembler la somme d’argent nécessaire pour aider son amie.

Arrivé place de la bastille il se dirige vers un commissariat. Celui-ci semble fermé, pourtant une lumière est allumée à l’intérieur. Claude Georges aperçoit à travers une fenêtre les deux lourds godilliots d’un agent posé sur un bureau. De l’autre extrémité de ces pieds s’échappe un ronflement sonore.

Claude Georges hésite quelque peu..
Mais très vite son impatience d'en finir avec cette triste affaire reprend le dessus, il n'aura guère plus de temps devant lui.. Autant faire vite..

Malgré ce que son bon sens pourrait lui dicter, il frappe à la porte viollement, de sorte à réveiller l'agent..
Lorsque celui ci ,après avoir maudit celui qui frappait et l'avoir insulté en criant dans la pièce, ouvre la porte, Claude Georges gonfle le torse et expulse tout ce qu'il avait à dire sur la situation présente .
Il veut faire sa déposition pour l'enlèvement et la séquestration.

Il ne sait pas très bien quelle suite sera donnée à l'affaire, mais il donne l'adresse et le signalement des hommes qui l'ont retenus.
Il précise qu'il est extrèmement pressé et qu'il reviendra d'ici la fin de journée voir l'avancement des choses..

Quoi que dise le policier Claude Georges s'en ira assez vite..

Il se met à Parcourir la ville à la recherche de ses contacts potentiels et de personnes pouvant être succeptibles de financer le projet du père d'Eloïse..

Le policier est particulièrement grand et au début mal réveillé. Il regarde avec étonnement le jeune banquier lui débité son histoire avec étonnement. Plusieurs fois il porte sa main à sa tignasse, se gratte la tête et cligne des yeux.

Au moment ou Claude Georges s'apprête à partir une main puissante le rattrape par le colle le colle de force dans un fauteuil et hurle :

pas si vite mon gaillard, vous êtes trop pressé pour être honnête nous allons reprendre dans le calme.

il réinstalle de force Claude Georges dans le fauteuil en face de son bureau, s'empare d'une page blanche et d'une plume. Puis il redresse son visages bourru en direction de Claude Georges et lui demande sur un ton peu aimable :

Tout d'abord puis je voir vos papiers, ensuite nom prénom age profession et adresse s'il vous plait

Désolé j'avais pas lu ton mp

Claude-Georges, écoeuré de n'avoir réussi à fuir tel qu'il le voulait, se retourne visiblement agacé.
Mettant la main à sa poche, il en sort ses papiers en disant d'une façon digne d'un prototype d'automate: Lermoutier, Claude-Georges, anciennement avocat , actuellement en repos. Pour mon adresse je ne puis vous en donner, car jusqu'à hier je vivais à Liège dans un petit Meublé..
Bon S'il Vous plait monsieur L'agent, je vous prie de me croire, je suis très pressé car Bon gré mal gré , je me retrouve ici , à Paris alors que je cherchais à m'y rendre. Mais la façon dont j'ai été amené ici, en me faisant assomer à ..
Voyant l'agent commencer à souffler devant tout ce qu'il lui raconte, Claude-Georges se tait et fait en sorte d'être le plus clair et le plus rapide possible pour répondre aux questions et donner les explications les plus précises.

Pour qu'on s'y retrouve, n'hésite pas à effacer ce post^^
Bon j'suis désolé j'me connectais pas, je ne voyais que mon post en dernier et t'avait supposé en vacances (comme j'te vois pas sur ins)
Bon j'reviens bientôt^^